posté le 21-05-2010 à 07:44:53

Seigneur, je confesse ton action pendant que je prie ; j’ignore tout de la fin de l’histoire, mon histoire, mais je sais que toi t

"Pierre était donc gardé dans la prison, mais les membres de l’Église priaient Dieu avec ardeur." Actes 12.5


J’ai souvent lu ce texte, mais je n’avais jamais remarqué la fin de l’histoire.
Permettez-moi de vous la citer :
"Quand il eut compris la situation, il se rendit à la maison de Marie, la mère de Jean, surnommé Marc.
De nombreuses personnes s’y étaient réunies pour prier" !
Et elles priaient encore au moment où Pierre vint à frapper à leur porte !
Ces personnes ignoraient absolument tout ce qui s’était passé entre le verset 6 et le verset 12 de ce chapitre, par définition !
Vous, vous le savez, parce que vous avez votre Bible en main et que vous connaissez l’histoire.

Vous avez besoin de vivre votre foi comme ces personnes l’ont fait !
Ce qui attire mon attention sur ce récit, c’est que pendant que vous êtes en train de prier,
Dieu ne reste pas les bras croisés, il agit, il organise l’évasion de Pierre, il délègue un ange, il fait courir la bénédiction, il expédie en urgence la grâce qui convient !
Mais eux, ils ignorent tout cela !
Personne ne leur a lu les sept versets séparant les deux références à leurs prières !

Vous avez besoin d’apprendre cela et de vous en souvenir ;
lorsque vous priez,
Dieu ne vous raconte pas toute l’histoire ; vous en ignorez même la fin ;
pourtant elle est dans ses mains, et votre service, c’est de continuer à prier !
Cela s’appelle la foi !
La prière de la foi, nous en avons une démonstration pratique ici.
Vous avez besoin de vivre votre foi comme ces personnes l’ont fait !
Non pas en utilisant la prière comme moyen de pression sur Dieu, ce qui est toujours une erreur, mais en restant dans une position de foi à l’égard de la bonté et de la fidélité du Seigneur !

Une confession de foi pour aujourd’hui

Seigneur, je confesse ton action pendant que je prie ; j’ignore tout de la fin de l’histoire, mon histoire, mais je sais que toi tu la connais ; ma part à moi est de prier ; alors je prie dans la foi !
Amen.
 


 
 
posté le 21-05-2010 à 07:42:42

L'ETERNEL ENVOYA SON ANGE

Histoire de Kévin

Kévin était âgé de quatre ans. Ses parents avait un chalet d'été près du Lac de Memphrémagog, car la famille avait un yacht.

Pour accéder au Lac, il y avait un chemin large, mais la pente était à pic, et juste à droite de la côte, il y avait une falaise.

C'était aussi le chemin qui servait de stationnement.

Le Dieu de Kévin.

Cette une belle journée d'été, les vacances commençaient, et la famille toute heureuse de passé un bon mois de repos, ensemble.

Naturellement ceci comporte beaucoup de bagages.

 

Naturellement, cela comporte beaucoup de bagages; tous avaient quelques choses à transporter, de la voiture à la maison.

Dans leur excitation, personne ne pris garde ;a Kévin qui était encore assis sur le siège avant de l'auto.

A un certain moment, l'enfant se mis à jouer avec le bras de démarrage ce qui enleva les freins, et l'auto commença lentement à avancer .

 

 

Kévin tourna le volant, et l'auto se dirigea vers la droite, ce qui menait tout droit vers la falaise.

 

Le père et la mère, en sortant de l a maison, virent que l'auto avançait.

Aussi, ils partirent en courant et criant au secours de toutes leurs forces!

 

Ils réalisèrent toutefois qu'il était trop tard et que seul le Seigneur était capable de sauver Kévin de cette situation.

Alors ils crièrent: "Seigneur!" mais il était déjà trop tard, l'auto venait de basculer en bas de la falaise.

Les parents descendirent cette pente à pic, et quelle ne fut pas leur surprise de voir l'enfant assis sur un rocher et qui semblait s'entretenir avec quelqu'un.

 

Ils prirent Kévin dans leurs bras, et une fois toutes les émotions passés, ils regardèrent l'auto toute abîmée.

 

Ils remontèrent vers la maison, tout heureux de voir que l'enfant n'avait rien.

 

Le père questionna l'enfant et lui demanda: " As-tu eu peur Kévin?" l'enfant répondit " Non pas du tout, papa, tu sais le Monsieur avec qui je parlais, en bas sur le rocher, tu sais celui qui avait les cheveu tout blanc, eh bien, il m'a pris dans ses bras, et m'a dit: "N'aie pas peur je suis ici, tu es dans mes bras".

Il m'a déposé sur le rocher et s'est assis à coté de moi.

 

 

Il m'a parlé jusqu'à ce que vous arriviez, maman et toi. Tu ne l'a pas vu celui avec qui je parlais?"

L'enfant racontait cette accident avec tant de candeur qu'un croyant ne peut douter, car tout est possible pour Dieu.


 

La limite était ce que Dieu avait permis.

Après plusieurs jours, on questionnait l'enfant, et c'était toujours la même histoire.

Mais on se demandait comment l'homme a-t-il pus sortir l'enfant de la voiture ?

 

D'ou venait cet homme et qui était-il ? Personne ne l'avait vu.

 

Comment l'enfant s'était-il trouvé assis sur le rocher qui était à dix pieds plus loin que l'auto?

Kévin voulait savoir pourquoi on n'avait pas vu le vieux Monsieur qui parlait avec lui.

 

Nous lui avons répondu: " Dieu t'a envoyé son ange pour te protéger."

 

Cette histoire est vrai. Kévin a aujourd'hui vingt ans.

 


 
 
posté le 21-05-2010 à 07:41:48

Découverte de la puissance dans nos paroles.

Découverte de la puissance dans nos paroles.
Don Gosset

Suite à une accouchement difficile,ma femme resta longtemps dans la salle d'accouchement, tandis que les infirmières essayaient désespérément de joindre un médecin.

Conscient que quelque chose n'allait pas, je me mis à prier avec ferveur.

On finit enfin par découvrir un docteur et Jeanne vit le jour. Mais il fut bientôt évident qu'elle ne présentait pas les signes de santé.
Le médecin nous dit que , d'après toutes les apparences, ma femme avait fait une forte décalcification au cours de sa grossesse.
L'organisme de la mère avait alors pris le calcium au bébé, ce qui avait occasionné un ramollissement et une malformation des os des mains et des pieds chez l'enfant, la chirurgie elle-même étant impuissante pour soigner cette espèce de pieds-bots.
On lui plâtra les pieds et on la mit dans une couveuse.
Et comme si cela ne suffisait pas, le bébé présentait aussi des troubles respiratoires; le médecin ne répondait pas de sa vie. Son état était critique.

Quand je vins rechercher ma femme, il nous fallut laisser notre petite Jeanne à l'hôpital.
Je priais la plupart du temps, demandant à Dieu de toucher cet enfant et de lui donner santé et force.

Au milieu de ces épreuves, ma femme fit une crise rhumatisme articulaire aiguë.

Je dus quitter mon travail d'évangéliste et passer tout mon temps à m'occuper de ma femme et de mes trois enfants.

Ces jours d'épreuves nous rapprochèrent du Seigneur comme jamais auparavant.

Quelques semaines après l'arrivée de Jeanne à la maison, ses pieds avaient tellement grandi qu'il était temps d'enlever ses plâtres pour en remettre de nouveaux.

Quand le docteur Graham, retira les plâtres, les pieds de Jeanne étaient devenus normaux!

Malgré la certitude que nous avion d'avoir vu un miracle, nous étions attristés par le fait que ma femme continuait à souffrir de son rhumatisme articulaire. Son état empirait et les douleurs aiguës jour et nuit étaient un supplice.

Les semaines passaient, je ne cessais d'implorer Dieu de nous sortir de cette impasse.

Un soir que nous n'oublierons jamais, je lisais le psaumes 27 à ma femme, quand soudain le saint-Esprit éclaira ce psaume en moi.
Je me tournai tout excité vers ma femme et lui dis: «Chérie, tu as entendu ça?»
__Quoi donc, Don?
Cette nuit-là, alors qu'elle me regardait d'un air interrogateur, je bondis de ma chaise, relisant le premier verset du psaumes 27: «Le Seigneur est la force de ma vie!»
Alors que ces mots prenaient vie en moi, je serrai ma femme contre moi en lui redisant « Tu entends ce verset, chérie? Le Seigneur est la force de ta vie!»

Elle répéta ces mots lentement à haute voix: «Le Seigneur est la force de ma vie.» A mesure que l'Esprit éveillait ces mots en elle, son regard s'animait et avec une vitalité surprenante, elle s'écria: «Mais c'est vrai... Le Seigneur est réellement la force de ma vie»



Une joie que je n'avais ressentie depuis des mois, envahit tout mon être. Je pouvais à peine me maîtriser alors je criais: « Chérie, si le Seigneur est vraiment la force de ta vie, alors tu n'as rien à faire dans ce lit! Tu peux au nom de Jésus, te lever et marcher!»

Elle tenta de se lever, une expression de foi chassa les restes de doute et de détresse imprimés sur son visage.

Et dans ses efforts pour mettre les pieds par terre, elle cria d'une d'une voix triomphante: «Le Seigneur est la force de ma vie!»
Je voyais bien qu'elle avait toujours aussi mal qu'avant, que les pieds qu'elle avait posés au sol étaient toujours aussi enflés. Mais elle n'y pensait plus, elle ne vivait plus par le mal qu'elle ressentait¸ le ne voyait et n'écoutait que la Parole de Dieu, infaillible, tout puissante, et ne cessait de crier sans réserve:

Le Seigneur est la force de ma vie, invoquant la force de Dieu pour guérir son pauvre corps affaibli.
Elle se leva et sans tituber marcha dans la chambre, continuant à proclamer joyeusement: «Le Seigneur est la force de ma vie! Le Seigneur est la force de ma vie!»

Plus elle citait le Parole de Dieu plus elle recevait Sa force. Sous nos yeux, la douleur disparut, l'enflure se résorba et son visage sans vie se colora.


Deux médecins vinrent constater qu'elle avait été complètement guérie d'un rhumatisme articulaire paralysant dont l'issue était fatale.



Jamais plus, depuis ce jour merveilleux, elle ne souffrit de cette terrible maladie.
Le jour où ma femme fut guérie de son rhumatisme fut le jour où je découvris que nous obtenions ce que nous disons.

»Si quelqu'un dit... (et) croit que ce qu'il a dit arrive, cela lui sera accordé» (Marc 11,23)
Jamais il ne m'était venu à l'esprit que la promesse «ce qu'il a dit arrive»était une épée à double tranchant: qu'elle pouvait me causer du bien ou du tort suivant les paroles que je prononçais.

Tes paroles peuvent construire ou détruire, puisque ce que vous dites arrive, ne dites jamais ce que vous ne voudriez pas voir arriver!
Mais si vous renoncez à toute parole et pensée négatives et acceptez la promesse que Dieu a faite de répondre à vos besoins, le miracle financier ou guérison que vous attendez s'accomplira

.

 


 
 
posté le 21-05-2010 à 07:40:36

CONTINUE DE LIRE

CONTINUE DE LIRE


Une jeune Fille Colombienne avait reçu un Nouveau Testament dans son école. Elle a lu le Nouveau Testament jusqu'au jour où son père l'a surprise en train de le lire…et il lui a dit de ne plus jamais le lire parce que c'était plein de mensonges et de bizarrerie...


Mais la fille a continué à lire jusqu'au jour où son père est arrivé à la maison de façon inattendue et l'a trouvé avec le NT, il l'a arraché de ses mains et l'a mis dans sa poche.


Le père est retourné à son lieu de travail où il était ingénieur des mines.
Plusieurs heures après les sirènes ont retenti dans la communauté minière, il y avait eu un affaissement dans la mine.
Le père a été piégé dans la mine.


Les secouristes ont mis 5 jours pour arriver finalement là où étaient les hommes, mais c'était trop tard.


Tous les 31 hommes sont morts y compris le père de cette petite fille.
Curieusement, quand les ouvriers ont trouvé l'homme il tenait le NT entre ses mains, jointes en prière.
Quand ils ont ouvert la couverture du NT ils ont lu une note :


“À ma fille”
"Continue de lire ce NT, il est la vérité et c'est bien,
et je te verrai un jour au ciel."

Alors ils ont tourné au dos de la feuille et là, le père avait signé son engagement après avoir dit la prière du pécheur.
Mais ce n'était pas la fin de l'histoire,
Quand ils ont regardé à la page suivante, les 30 autres ouvriers avaient signé de leurs noms aussi
!

 


 
 
posté le 21-05-2010 à 07:39:22

Une histoire digne d'un conte de fée.

Une histoire digne d'un conte de fée.

 

 

Cette histoire est bien réelle.

Ceux qui en ont été les instruments furent bénis, surtout les enfants qui ont

aimé raconter comment Jésus avait répondu à leur prière.

 

 

C'était une belle journée ensoleillée, deux familles avec leurs enfants décidèrent d'aller se promener au Centre d'Interprétation de la Nature à Granby.

  •  

  • Un très bel emplacement, conçu pour la famille, et possédant des sentiers bien aménagés.

  • Tout le long du parcours, les enfants nourrissaient les oiseaux qui les suivaient avec leurs roucoulements célestes.

  • Tout à coup, surgit deux écureuils qui jouaient entre eux. Ils étaient tellement agréable à contempler que tous les ont suivis.

  • Ils réalisèrent toutefois qu'ils avaient quitté les sentiers, et qu'à chaque pas, ils s'enfonçaient de plus en plus vers le bois qui devenait très dense.

  • Les parents dirent aux enfants: « Retournons car nous sommes vraiment trop éloignés du sentier».

  • Le crépuscule commençait à tomber, et ils devaient rebrousser chemin.

  • Ils se mirent à tourner en rond, il semblait qu'ils repassaient sans cesse au même endroit.

  • Ils avaient avec eux six enfants en bas âges dont un couple de jumeaux de sept ans.

  • Après une heure à chercher le sentier, la peur saisit les enfants, mais un des jumeaux dit: « Maman le professeur de l'école du dimanche nous a dit la semaine dernière que si nous avions peur, qu'il fallait demander toujours l'aide du Seigneur et qu'Il allait pourvoir à nos besoins»

  • Ils ont donc fait un cercle, ont baissé les yeux et celui qui a proposé de prier fit cette courte prière.: « Seigneur, nous sommes perdus, Viens nous aider».

  • Ils furent interrompus par un bruit derrière eux.

  • Ils se retournèrent et virent deux gros chiens qui les regardaient. Les parents mirent les enfants derrière eux de crainte qu'ils ne viennent attaquer.

  • Une des mères regarda les chiens dans les yeux mais ils ne semblaient pas agressifs. Les chiens firent un demi tour, et se mirent à avancer lentement.




     

 

 

 

À maintes reprises les chiens arrêtèrent pour n'avancer qu'au rythme des

enfants.

  • La mère se dit que les chiens appartenaient sûrement à quelqu'un, aussi elle proposa de les suivre souhaitant que ceux-ci les aident à sortir de ce bois.

  • À peine quelques minutes passèrent, ils ont entrevu au loin une clairière et une ferme, ce qui les réjouirent.

  • De retour à la maison chacun racontait leur mésaventure.

  • Le lendemain, ils ont voulu aller raconter aux propriétaires des chiens que ceux-ci furent leurs guides, la veille, pour les sortir du bois.

  • Ils sont donc allés frapper à toutes les fermes avoisinantes, mais après maints échecs, ne trouvèrent personne possédant ces chiens.

  •  

Elles ont donc conclu que Jésus

avait envoyé ses anges pour nous guider


 


 
 
 

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