posté le 21-05-2010 à 19:17:19

UN SOLDAT MOURRANT

UN SOLDAT MOURRANT

TROUVE LA VIE

 

 

 


L'histoire d'un soldat blessé à mort, pendant la première guerre mondiale.

- Jean a été touché, il est tombé ! crie Jacques.
Il se rend compte que la blessure de Jean est fatale.

C'était en France, pendant la 1ère guerre mondiale.

Le combat était intense tout au long de la tranchée.

Jacques s'efforce d'arrêter l'hémorragie de son camarade lorsque soudain il l'entend dire :

"
Peux-tu m'indiquer le chemin du ciel ?"




LA QUESTION


- Jacques se penche sur le blessé.

Je regrette, Jean. Je ne sais pas le chemin.

Mais je vais demander aux autres.!!!!!!!!

 

Partant en courant le long de la tranchée, il interroge les hommes qui se trouvent là, mais personne ne peut lui répondre.


La question est transmise

à seize hommes successivement.

 

Aucun d'entre eux ne connaît le chemin du ciel.!!!!!!!!!


Pensez donc !

Ces jeunes soldats ne peuvent pas aider leur ami mourant.

Ils sont tous exposés à la mort, mais pas un d'entre eux ne connaît le chemin qui mène au ciel !


Quand un homme est près de mourir sur le champ de bataille,

il a besoin de la vérité.

_Nos pensées,

_nos conclusions

ou nos

_suppositions

ne servent absolument à rien.


-Les bonnes oeuvres,

-le baptême,

-la confirmation,

-la communion et

-les pénitences ,

-les messes

-les prières aux morts

ne peuvent pas aider Jean qui est en train de mourir dans un fossé quelque part en France.


C'est d'un Sauveur qu'il a désespérément besoin.

Auriez-vous pu indiquer le chemin du ciel à Jean ?


""Auriez-vous su ouvrir la Bible et exposer le plan de salut de Dieu ????????????????""


Il s'y trouve exprimé en termes clairs ;
Mais savez-vous dans quels passages ?



LA REPONSE

Dans la tranchée, la question continue à courir le long de la ligne :

"Jean va mourir et il aimerait savoir le chemin du ciel.

 

Qui peut le lui indiquer ?"

Enfin, un soldat répond :

- Je connais le chemin, mais je ne peux pas quitter mon poste."

Il tire de sa poche une petite bible, l'ouvre et dit :

- Lisez ce verset à Jean.

Dites-lui d'écouter attentivement.

C'est le chemin qui mène au ciel.
Rapidement le message et la bible remontent dans la tranchée jusqu'à Jacques qui retourne vers son ami.

- J'ai la réponse, Jean. Ecoute bien. Voilà le chemin du ciel :


"Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croît en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle" Jean 3;16

 

Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir, parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l'homme qu'il a désigné [Jésus], ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts…
Actes 17:30-31


Jean ouvre de grands yeux.

- Relis-le !

Retenant ses larmes, Jacques répète les paroles qui communiquent la vie.
Une expression se dessine sur le visage de Jean alors qu'il dit dans un souffle :

- "
Quiconque croit ".

Un moment plus tard, sa face s'illumine.

Avec un sourire, il murmure :

"Je crois", puis il expire.

Il a quitté le champ de bataille, pour être avec Christ !

Jean a trouvé le chemin du ciel à la dernière minute.


N'ATTENDEZ PAS

 

 

Pendant que je servais comme soldat, j'ai trouvé que moi aussi que que Jésus Christ est le seul chemin qui mène au ciel : il dit : « Moi, je suis le chemin , et la vérité, et la vie » Et aussi : Moi je suis la porte : si quelqu'un entre avec mpar moi, il sera sauvé » ( jean 14,6 – 10,19)

 

Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir, parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l'homme qu'il a désigné [Jésus], ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts…
Actes 17:30-31

 

La Bible affirme : « il n'y a point d'autre nom sous le ciel,,,,,,par lequelil nous faille êtresauvés »'actes 4,12) Et encore : qui croit au fils de Dieu à la vie éternelle ( Jean 3,36)


Il n'y a qu'un seul chemin qui mène au ciel.

 

N'attendez pas le moment de votre mort pour recevoir Jésus comme Sauveur. Peut-être n'aurez-vous la même occasion que Jean.

« Cherchez l'éternel tandis qu'on le trouve » (Esaï 55.6)

 

« Si tu confesses de ta bouche Jésus comme Seignuer et que tu crois dans ton coeur que Dieu l'a réssucité des mort, tu seras sauvé ». (Romains 10-9).


CONCLUSION
Et vous, connaissez-vous le chemin qui conduit au ciel ?

Pensez à l'histoire de Jean, et prenez la bonne décision.

Le salut est pour vous aujourd'hui et pour toute votre famille.

 

Vous ne regretterez jamais ce choix.

Ta parole est une lampe à mes pieds,
Et une lumière sur mon sentier
Psaumes 119:105

 

Que dieu vous bénisse

 


 
 
posté le 21-05-2010 à 19:15:29

PAROLES D'ENCOURAGEMENT

PAROLES D'ENCOURAGEMENT

Ne vous arrêtez pas dans votre course, persévérez afin de remporter le prix

 

Se lasser, se retrouver dans une autosatisfaction ou une inertie spirituelle est une position très dangereuse pour chaque chrétien. Le Seigneur nous met en garde contre une situation et les paroles de l’apôtre Paul aux Philippiens nous aident à la corriger, quand il dit lui-même, au sujet de son appel et de son ministère : « Ce n’est pas que j’ai remporté le prix (de ma vocation céleste)…je ne pense pas l’avoir saisi ; mais je fais une chose : oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ » (Ph 3:13-14). La vie chrétienne est une course ; pour la remporter, il est indispensable d’en suivre les règles. En voici quelques-unes :

Avoir remis le gouvernail de sa vie entre les mains du Seigneur

Notre vie est comme un bateau qui a besoin d’un pilote expérimenté pour la conduire à bon port. Il est bien connu que l’accès des navires dans les grands ports maritimes est réglementé et qu’il est impératif qu’un pilote local prennent la barre des bateaux pour les amener à quai. Ce pilote doit connaître toutes les particularités du port en question ; aussi les capitaines de ces navires ont-ils le plus grand intérêt à lui laisser leur gouvernail ; ils s’épargnent ainsi les inquiétudes, les retards et même peut-être les risques d’échouage ou de naufrage.


Ce tableau est facile à transposer dans notre vie chrétienne. Il y est question de l’abandon de notre volonté personnelle pour remettre à Jésus la conduite de notre vie. N’attendez cependant pas d’aborder, ou d’être en fin de vie, pour confier au grand pilote la direction de votre barque. Dès à présent, laissez-le vous prendre en charge. Que Sa volonté se substitue à la vôtre ; que le gouvernail de votre vie change de main. Que désormais ce soit Christ qui dirige votre vie et non plus vous-même ; il saura conduire la barque qui lui est ainsi confiée et livrée, au but qu’il lui a prédestiné. Vous pourrez ainsi devenir un instrument docile et utile qu’il entretiendra avec amour et patience. Votre personne, votre corps, votre âme, votre vie, abandonnés à Jésus, se trouveront délivrés des exigences de votre Moi. Même à travers la maladie, les surmenages, les soucis et les problèmes de toutes sortes, Jésus prendra soin de vous.
Mais il ne suffit pas d’avoir, une fois pour toutes, confié le gouvernail de sa vie au Seigneur. Il faut encore continuer d’avancer.

Toujours continuer d’avancer

L’histoire suivante nous révèle le danger de l’inertie ou de « l’arrivisme » spirituels. On demanda un jour au capitaine d’un grand voilier, ce qu’il estimait être la situation la plus dangereuse pour son bateau lorsqu’il navigue en mer. On pourrait en attendre la réponse suivante : « c’est rencontrer une violente tempête ». Mais, à notre grand étonnement, ce dernier répondit que pour lui, l’expérience la plus terrifiante d’un marin comme lui était l’immobilisme de son bateau en pleine mer. C’est là, poursuivit-il, la plus grande crainte du navigateur. Il expliqua sa réponse en disant qu’en cas de tempête, les voiles de son bateau lui permettaient de continuer à se déplacer. Par contre, qu’un voilier arrêté par manque de vent se trouve sans force, sans possibilité de s’en sortir et donc à la merci de la mer. Même le marin le plus expérimenté ne peut continuer de piloter son voilier dans une telle situation.

Il en est de même pour chacun de nous. Le Seigneur ne peut vous diriger, si vous vous êtes arrêtés dans votre course, si vous avez cessé de courir et que vous êtes satisfait de votre vie chrétienne. Vous ne pourrez continuer d’avancer avec le Seigneur que dans la mesure où, avec l’aide de son Esprit, vous vous engagerez à nouveau pour combattre le bon combat de la foi. C’est ce qui vous maintiendra en mouvement pour la bonne cause et vous permettra de continuer à progresser dans Ses voies.

Payer le prix de notre appel

Les Ecritures nous parlent d’un incident qui s’est passé suite aux nombreux miracles que le Seigneur opérait partout où il allait. Il nous est dit que, pendant que ses disciples et lui étaient en chemin, un homme s’est approché du Seigneur pour lui dire, avec un enthousiasme débordant : « Seigneur, je te suivrai partout où tu iras ». Et que lui a répondu Jésus : « Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids ; mais le Fils de l’homme n’a pas un lieu où il puisse reposer sa tête ».

C’est certainement beau d’être enthousiasmé par les miracles que nous voyons le Seigneur faire dans notre vie et autour de nous, mais que cet enthousiasme ne nous voile pas le prix à payer pour être un disciple du Seigneur Jésus. Car il connaît nos cœurs ! Il discerne quand une personne ne le suit que par intérêt, et pour passer de bons moments en sa présence. Il sait parfaitement bien que la consécration d’une telle personne disparaît comme par enchantement à l’apparition des premières circonstances difficiles.

Le Seigneur n’a jamais utilisé de subterfuges pour s’attirer des disciples ; il n’a jamais caché, à ceux qui le suivaient, la réalité que la vie chrétienne est un combat, avec son lot de souffrances et de difficultés. Il a au contraire énoncé les exigences que réclamait son appel à le suivre. La personne la plus heureuse sera certainement celle qui, après avoir calculé le prix de sa décision, et en connaissance de cause, pourra continuer de dire : « Seigneur, me voici. Je veux te suivre ».

Laisser le Seigneur choisir le moment et la manière de nous utiliser

Quand le Seigneur nous appelle à le servir, il se peut que nous soyons obligés d’attendre, parfois peut-être longtemps, avant de commencer un service public. Entre le moment de l’appel que Dieu nous adresse et celui de sa mise en route, nous aurons peut-être à passer par l’école de la patience. Ne nous décourageons pas. Continuons de vivre notre vie chrétienne pour Lui, avec Lui et devant Lui. Poursuivons nos efforts pour grandir dans sa connaissance, cherchant toujours à lui ressembler davantage. Ce ne sera certes pas une perte de temps, car ce faisant, le caractère de Christ s’imprimera en nous et nous serons alors à même de le glorifier par notre vie, ce à quoi Il nous a destinés.

Laissons le Seigneur choisir le moment et la manière qui lui conviendra pour nous employer. Notre seule responsabilité n’est-elle pas simplement de rester disponible et obéissant à Sa voix ?

Ses plans à notre égard sont parfaits ! Faisons-lui confiance, et que l’impatience ne puisse venir nous freiner dans notre course pour remporter le prix de notre vocation céleste en Jésus-Christ. Il revient bientôt et Sa récompense est avec Lui.

Que ce jour-là, Il nous trouve fidèles à l’appel qu’Il nous a adressé !

D.Hatzakortzian

 


 
 
posté le 21-05-2010 à 19:14:13

William Colgate un Grand Dimeur !!!

Une histoire de savon
Il y a bien des années, un jeune garçon rencontrait, un jour, un vieux capitaine au bord du lac Erié, aux Etats-Unis. Reconnaissant l'enfant, le vieillard le salua
- Eh bien, William, où vas-tu ?
- Je ne le sais pas moi-même, fut la réponse. Mon père est trop pauvre pour me garder à la maison, et je dois maintenant pourvoir à mes besoins.
- Il n'y a rien de malheureux en cela, mon garçon. Voici l'important : Marche droit et tu t'en tireras facilement.
- Le jeune garçon expliqua qu'il n'avait aucune connaissance spéciale, sinon qu'il avait aidé son père à fabriquer du savon et des chandelles.
- Bien, mon garçon, nous allons prier ensemble. Après cela, je te donnera un conseil et une clef certaine qui t'ouvrira la porte du bonheur.

Tous les deux s'agenouillèrent au bord du lac, et le vieillard pria avec ferveur pour le jeune garçon. Puis il lui dit :
- Quelqu'un doit nécessairement devenir le premier fabricant de savon à New York. Pourquoi ne serait-ce pas toi aussi bien qu'un autre ? Sois un homme honnête. Donnes-toi tout entier à Christ. Sur chaque dollar que tu gagneras, donne au Seigneur ce qui lui appartient de droit. Fabrique un savon de bonne qualité, et sois fidèle en donnant toujours le poids requis. Si tu agis ainsi, je suis sûr que tu réussiras et que tu seras bientôt un homme riche.
En arrivant dans la capitale, William eut beaucoup de peine à trouver du travail. Les débuts furent difficiles. Mais il se souvint des dernières paroles du vieux capitaine. Il s'appliqua, dès le commencement, à rechercher le Royaume de Dieu et sa justice (Mt 6.33), et il se joignit à l'Eglise. Lorsqu'il reçut son premier dollar, la question se posa :
- Quelle est la part qui revient au Seigneur ?

Il savait que les Juifs devaient donner la dîme (la dixième partie) de tout ce qu'ils possédaient, et il en conclut qu'il pouvait, lui aussi, donner la même part.
- Si mon Maître veut bien accepter la dixième partie de mon gain, je lui donnerai ceci.

Alors, il préleva la dîme de chaque dollar qu'il gagnait. Ayant trouvé un emploi régulier, il devint vite l'associé du patron. Ce dernier mourut quelques années après, et William devint le propriétaire de cette importante maison de commerce. Il fabriquait un savon de bonne qualité, il était juste dans toutes ses mesures et il ordonna à son comptable de consacrer la dîme de tous ses revenus à Dieu. Ses affaires prospérèrent, sa famille était bénie. Il était riche comme jamais il n'avait osé l'espérer. Alors il décida de donner à Dieu sa double dîme; sa prospérité s'accrut plus considérablement encore, si bien qu'il donna les trois, puis les quatre dixièmes, et enfin la moitié de ses revenus.
Chacun de ses enfants reçut une bonne éducation; il s'arrangea pour vivre simplement avec une certaine somme et tout le reste de ses gains fut entièrement employé au service de son Maître. Ses affaires ont continué dès lors à prospérer toujours davantage.

Telle est l'histoire de William Colgate.

Mon Frère,Ma soeur, tu peux réussir aussi en mettant en pratique le Parole de Dieu.
Si tu as été touché par ce témoignage tu peux faire tes dons ou payer ta dime dès Aujourd'hui.
Toutes les infos sont dans la Partie Faire un Don à droite de ton écran.
Que Dieu fasse de toi le prochain William Colgate et que tes entreprises prospèrent au nom de Jésus

 


 
 
posté le 21-05-2010 à 19:12:35

Nous n'avons pas honte de l'Evangile

Nous n'avons pas honte de l'Evangile
CHRETIEN PROTESTANT EVANGELIQUE

 

"Car je n'ai point honte de l'évangile de Christ : c'est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit !" - Romains 1:16

Nous n'avons pas honte d'annoncer la Bonne Nouvelle du Royaume de Jésus notre Sauveur et Seigneur.

 

Jésus revient bientôt, il nous a accordé la grâce de la révélation de notre péché, de notre perdition, de la croix, de son pardon, de la réconciliation avec Dieu notre Père à travers Lui.

 

 

Nous sommes nés(es) de nouveau, plantée dans le royaume de son amour et nous ne voulons pas garder ce trésor pour nous seul(e).

Aussi,nous sommes fièrs(es) de Lui appartenir, et nous voulons honorer la confiance qu'il a mise en nous, d'annoncer partout où nous sommes, partout où nous allons, la prédication de la croix; car c'est là que c'est manifesté son amour pour le monde!

 


 
 
posté le 21-05-2010 à 19:11:43

Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire.

Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire.

 

La Porte de la Vie "Jean 10.1-10"

 

Seigneur, aide-moi à passer par la porte et je serai sauvé !


« Moi, je suis la porte »
Nous voulons tous être heureux.
Il n’y a personne au monde qui choisisse consciemment d’être frustré ou malheureux.
Pourtant comment se fait-il que tant de gens choisissent ‘inconsciemment’ de l’être en passant à côté de ce qui rend vraiment la vie valable ?
Jésus est la porte !
Si nous voulons vraiment réaliser nos aspirations humaines les plus profondes, nous devons connaître et aimer Jésus- Christ.
Aussi longtemps que Jésus passera en seconde position derrière
n’importe quoi ou n’importe qui dans notre vie, nous n’avons pas entièrement traversé la porte.
Une partie de notre cœur et notre esprit restent en dehors, indécis, se laissant distraire par d’autres voix que celle du berger.
Qu’est-ce qui m’empêche de décider une fois pour toutes de passer par la porte ?

La voix des étrangers Si nous ne passons pas par la porte, nous sommes vulnérables.
Ceux qui ne sont pas entièrement engagés risquent de trouver les propositions des étrangers tout à fait attirantes.
Mais les brebis du Christ restent sourdes à ces appels, par fidélité à leur Berger.
La persévérance dans notre foi catholique, et les choix de vie que cela suppose, exigent l’effort constant de ne suivre que le Seigneur. Même si nous sommes assiégés par une cacophonie de voix concurrentes, la voix du Seigneur montera toujours au-dessus du vacarme.
Soyons fidèles. LIRE LA PAROLE DE DIEU (LA BIBLE) et de PRIER est le lieu privilégié pour entendre la voix de Jésus.

C’est bien pour cela d’ailleurs que notre lecture et la prière est
l’activité la plus importante de chaque jour. Est-ce que je veille à entretenir une vie fidèle ?

La vie en abondance L’effort nécessaire pour passer par la porte et pour n’écouter que la voix du Bon Berger rapporte gros.
" Je suis venu pour qu’ils aient la vie, et qu’ils l’aient en abondance. " À quoi ressemble cette vie ?
La vie abondante que le Christ nous donne est la présence de la Sainte Trinité dans l’âme. C’est l’amour qui enveloppe les maisons et les communautés chrétiennes authentiques.
C’est la paix de l’âme qui a fait l’expérience du pardon et qui s’est engagé à vivre dans la vérité.
Pour citer Paul, c’est :
« Des choses que l’œil n’a pas vues, que pas une oreille n’a entendues, qui ne sont venues à l’esprit de personne ; les choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. » (1 Cor 2,9) Que pourrait-on nous donner qui puisse se comparer à tout ceci ?

Je tâcherai de refléter l’amour du Christ, le Bon Berger, afin d’aider une personne à se rediriger vers JESUS.

Seigneur Jésus, je te remercie de ce temps que nous avons passé ensemble.

Souvent j’ai permis à d’autres voix de me laisser détourner de la tienne. Je m’engage désormais à suivre le chemin de la fidélité.

Accorde-moi la grâce de toujours persévérer et de donner à d’autres un exemple qui les aidera, eux aussi, à passer par la porte.

 


 
 
 

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